Vingt et sixième
À mes oiseaux illusoires amis des
nuits
Traversées de signes et de belles parures
Mais que l’aurore en costumes troués traduit
Sur ma palette pattes et plumes griffures
Dérobées aux instants d’inattention écrits
Aux rythmes désordonnés épaves des songes
Coquilles vides qui s’épuisent et épongent
Les larmes nacrées brisures des vers appris
Silhouettes nettes et squelettes pâlis
Sur ombres et brumes matières aux grains bruts
Quand le dialogue se meut imitant la flûte
Et le tambour des anciens hymnes interdits